Que pense le politique de la misère de la jeunesse française ?

Hier, la chaîne France3 a diffusé dans Pièces à conviction, un reportage poignant sur la cause des enfants maltraités en France. Le reportage était intitulé ‘Enfants placés, les sacrifiés de la république’. Il dresse un constat macabre mettant en évidence les dysfonctionnements de l’aide sociale en France et la culpabilité criante du pouvoir politique, ou plutôt la confirmation que cette prétendue élite politicienne est bien conforme à ce que pense la plupart des gens sillonnant les pavés parisiens tous les samedis depuis quelques semaines.


Le réalisateur du reportage a enquêté durant huit mois dans des foyers des familles d’accueil pour y recueillir des témoignages absolument poignants.

Après le reportage, la journaliste Françoise Laborde, très engagée pour la cause des enfants maltraités, s’est indignée face à l’absence de la ministre de la Santé, pourtant conviée à ce débat puisqu’il touche la santé d’un pan considérable d’une jeunesse sacrifiée.
En novembre dernier, la ministre de la Santé avait promis la mise en place d’un système de prise en charge à 100 % des frais de santé des enfants et adolescents confiés aux services sociaux. Qu’en est-il aujourd’hui ?

"Nous avions invité Agnès Buzyn a participé à ce plateau mais elle a décliné l’invitation", a annoncé la présentatrice, ce qui a suscité cette réponse de la journaliste Françoise Laborde :
"Franchement, quand j'ai découvert qu'Agnès Buzyn ne venait pas, j'ai été profondément choquée, et je trouve ça extraordinairement révélateur de la désinvolture, du mépris de la puissance publique à l'égard des enfants maltraités. Cela fait des années et des années qu'on dit qu'il y a un problème, qu'il y a une difficulté, il paraît que c'est la priorité du gouvernement. On devait avoir un plan en juin, puis après l'été arrive, c'est septembre, et puis septembre ça ne va pas, et puis après c'est novembre, et puis finalement ça va être le 15 décembre. On est au 15 janvier, il n'y a toujours rien qui se passe. Mais enfin, bon sang de bonsoir!" "Il y a 330.000 enfants qui sont pris en charge par l'ASE (Aide sociale à l'enfance, ndlr), c'est pas une urgence ça? Et madame Buzyn elle n'a pas le temps de venir à une émission? C'est scandaleux! (...) C'est le job de la ministre d'être là aujourd'hui", a continué l'ancienne animatrice de télévision.

La cause mondialiste passe avant la misère sociale


Il est vrai que la ministre de la Santé est beaucoup plus intéressée à vacciner massivement les jeunes enfants pour remplir les poches de ses relations de la pharmaco-chimie, et qu'elle n’a cessé de dénigrer, comme la présidence élyséenne, les pauvres et les nécessiteux.

Eux n’appartiennent pas à l’élite.
Eux ne fréquentent pas les institutions mondialistes avec petits fours et champagne.
Eux ne manifestent pas avec des Gilets jaunes.
Eux se contentent de mendier pour obtenir le pain quotidien.

Le couple Macron et leurs amis sont si éloignés de la pauvreté. Ils sont tout simplement INDIFFERENTS. Ils font comme si le pauvre n’existait pas.
Ils préfèrent laisser cette jeunesse française sacrifiée pour satisfaire les marionnettistes qui leur offre une vie de bobos.
Ils préfèrent accueillir quelques troupes révolutionnaires étrangères et les payer grassement, car là est le prix de leur adhésion au plan de cette Synagogue de Satan dont la haine de l’autre est la marque de fabrique.

Quant un pouvoir aussi nauséabond se permet d’insulter la misère et de voler quotidiennement la veuve et l’orphelin, il ne peut avoir une grande espérance de durer.

Ces maçons de la république mondialiste marxiste ont toujours de belles leçons maçonniques à présenter devant la populace incrédule et athée, mais au fil des décennies le verdict devient implacable et la sanction le sera également : ils mourront dans l’incrédulité et leur république mourra dans l’opprobre.

Autre reflet de cette politique des nantis et bobos laïcards marxistes : l’augmentation (pour ne pas parler de flambée) des sans-abris. Une partie d’entre eux sont des victimes de la gourmandise de l’Etat ploutocrate.

---

NUMERO 414 DE LA LETTRE LIESI